La relation client : les personnes âgées ne sont pas des mules !

Spéciale dédicace à tous les seniors ! Aujourd’hui, à l’occasion du blogstorming organisé par assurance prêt online, Drôle de Plume a décidé de vous parler de l’abus de faiblesse dans la relation client, pratique courante chez les commerciaux peu scrupuleux.

Le problème ? Ils choisissent bien leurs cibles : les personnes du troisième âge, celles qui sont perdues entre le franc, l’ancien franc et l’euro, celles qui confondent 20 € avec 20 francs (aïe le portemonnaie).

Le deal ? Leur faire acheter n’importe quoi, n’importe comment, à n’importe quel prix sous prétexte que ces gens ne maîtrisent pas bien l’art de la vente et sont paumés dans les étagères du supermarché de la relation client.

Cette situation est exaspérante, voire immorale.

Messieurs les commerciaux,  arrêtez de prendre les seniors pour cibles…

I have a dream…Si Martin Luther King assistait à cette mascarade, il aurait certainement ajouter un paragraphe à son discours : je rêve d’une société où la relation client serait limpide et où les intervenants de la force de vente seraient guidés par la bienfaisance plutôt que par la vente à la chaîne.

Malheureusement, s’il y a un point à améliorer, c’est bien celui-ci : l’abus de faiblesse dans la relation client prend parfois de telles proportions qu’il détruit tout.

Une fois le pigeon du troisième âge repéré, il est exploité au maximum. Cela vaut aussi d’ailleurs pour une population plus jeune et naïve.

Cette situation est intolérable. Parce qu’une relation client saine, c’est loin d’être cela.

C’est plutôt un échange construit sur la transparence, et la volonté qu’ont l’une et l’autre des parties de mettre en place une action sans que personne ne soit lésé.

Je rêve d’un monde où les pigeons deviendraient des requins volants, prêts à zigouiller ceux pour qui la relation client est une parodie d’échange. Parce que c’est seulement en partant sur des bases saines que l’on bâtit son image.